Julien Rossi part d’un article de Gloria Origgi qui développe la notion de confiance en ligne, pour discuter le paradoxe de la surveillance.
En effet, si la surveillance en ligne crée de la défiance, n’est-ce pas sur cette même surveillance de nos données personnelles qu’est fondée une nouvelle forme de confiance, la confiance calculée algorithmiquement, qui pourrait bien être nécessaire au fonctionnement de nos sociétés en modernité liquide ? Existe-t-il des alternatives à cette confiance basée sur la surveillance ?